La Duchesse De L’Autoroute. (7x14)

J’ai franchi une nouvelle étape, ce soir j’accepte de me faire sauter pour gagner plus d’argent espérant sortir de la spirale me menant vers ma déchéance que j’ai enclenchée faute de moyens après la double trahison de Pierre mon mari en me trompant et en perdant tous nos biens aux jeux.

• Topaloff c’est toi qui prends mes rendez-vous maintenant ?
Si j’ai bien entendu Mimi la sauterelle va arriver pour me baiser, mais j’ai une question à te poser.
• Si je peux te répondre.
• Que veut dire P.V.M ou S.A.V ?

Il éclate de rire.

• Service après-vente, je sais mais pour le reste c’est du Chinois.
• Tu te trompes, pas S.A.V. mais S.A.V.P ou S.A.P, c’est pour les bleues, bref les gendarmes qui surveillent l’autoroute, ils pistent les personnes comme toi, quand l’une d’entre vous est au turbin, comme tu l’as fait ce soir nous prévenons les uns et les autres par nos postes CBs.
Mâcon sans dire le V de vers Lyon çà marche aucune de vous n’a fini au poste sauve la grosse Bertha mais je crois qu’elle aime se faire embarquer dieu seul sait ce qu’il se passe dans la gendarmerie quand ils embarquent ses grosses fesses.
Tient voila Mimi, je reconnais son camion rouge, tu vas voir il est drôle.

Pour être drôle il est drôle, il arrive juste aux pédales et son visage dépassant à peine du volant hormis cela ce garçon à peine plus haut qu’un nain a des bras de déménageur et quand il sort son sexe de son pantalon il est monté comme un taureau.
Topaloff, Mimi, D’Artagnan, Serge, Fifi, un peut plus tard Riri, il m’a manqué Loulou peut-être demain.
De Topaloff au dernier dont j’ai oublié le nom avant que Bourdon m’encule dès qu’ils m’ont pénétré ma chatte se met en feu et mes 14 clients me font jouir.
Suis-je normale ou suis-je réellement une folle du cul, il est bien dommage que j’aie perdu plusieurs années avec Pierre pour connaître le plaisir d’avoir tous ces orgasmes.


J’ai repris ma voiture pour retourner au péage de Mâcon nord vers B.P. Beaune Paris ou j’arrive après la fermeture du restoroute.
Je me lave la chatte dans le lavabo des toilettes handicapées ou je peux fermer la porte sans que les bergères voyageant avec leur berger montant vers la capitale soient choquer si je l’avais fait dans les lavabos communs car le temps que je reste enfermée 4 fois la porte suivie des chasses d’eau se fait entendre.
On dit que les hommes sont des crades quand ils vont pisser car ils oublient de se laver les mains, je constate que chez les femmes 50 % sont aussi sale car 50 % sortent directement.
Ce qu’il y a de sur, au moment où mes yeux se ferment alors que sous mon siège avant la boîte où je range mes billets chèrement gagnés grâce à la radio des routiers où la Duchesse semble très connue ce que j’ignorais avant d’entendre Topaloff discuter avec ses copains pensant que je dormais.

Il est 8 heures quand je retrouve Fantine toujours aussi pimpante.

• Henriette, tu te fais rare, ou étais-tu passée ?
• Avant que je t’explique la réparation de ma voiture par Ludo en restant chez lui, avec tout les plaisirs qu’il sait donner à une femme suivie des 15 passes faites hier au soir, donne-moi la clef de la douche il faut que je me lave la chatte.
• J’irai bien t’aider à te laver mais regarde les queues, pardon la queue qui se fait et qui attend leur café.
Dis-moi, te laver la chatte, je croyais que tu les pompais ?
• C’était hier, depuis je baise et j’ai même été sodomisée, à part la sodomie chaque fois j’ai eu un orgasme.
• Je comprends pourquoi la côte de la Duchesse monte en flèche, il y a ¼ d’heures un Tchèque à demander à te voir, en arrivant j’ai vu ta voiture et je savais que tu dormais.
• Merci, tu es une sœur pour moi.
• Qu’une sœur ?

Je me douche, rends la clef à Fantine et au lieu de retourner vers ma voiture pour laisser passer les longues heures avant de retourner au tapin je passe derrière le restoroute et à pied je vais jusqu’au village voisin.

Voir une femme sur des talons marcher le long d’une route doit intriguer pas mal de monde vu le nombre de Klaxons que j’entends, mais à aucun moment je finis le chemin à leurs côtés.
Je trouve la pharmacie et après avoir réussi à faire comprendre à la pharmacienne sans le dire que j’avais un amant qui m’avais baisé plusieurs fois pendant la nuit m’entraînait des brûlures sur les bords de ma chatte, elle va derrière et me ramène un tube de pommade.

• Mettez-vous cela, j’ai eu le même problème il y a quelques mois avec un de mes amants et elle a été très efficace.
• L’avez-vous quittée ?
• Non je l’ai épousée.
• Est-ce la fête tous les soirs ?
• Détrompez-vous, depuis il se retourne prétextant la fatigue ou même mieux la migraine.

Attention fillette, un jour tu vas te retrouver sur l’autoroute à faire des passes.
Bien sûr c’est un tout autre conseil que je lui donne.

• Prenez un amant, vous verrez vous retrouverez les élans perdus avec votre mari.
• Mon patron qui est dans son bureau veut me sauter, il faut que je lui cède ?
• Il est beau gosse.
• Plutôt oui.

Je la quitte dubitative, mais la lumière dans son œil qui s’est allumée me fait penser qu’à la fermeture dans les minutes qui suivent cela va être la fête du slip dans le bureau.

J’ai emmené l’argent pour le mettre en banque mais la banque où nous étions avec Pierre était en compte commun, je tiens pour la première fois à avoir un compte à mon nom afin de m’assumer maintenant que ma vie a changé et m’appartient.
La banque dans ce village est autre que la nôtre mais une banque est une banque et le receveur est satisfait de se faire une nouvelle cliente.
Nous sortons de l’agence ensemble car il est midi.

• Je vous ai vues arriver à pied de mon bureau, puis-je vous raccompagnez, mais avant si vous avez du temps j’aimerais vous inviter à déjeuner.

Enfin un gentleman, sensiblement plus jeune d’une dizaine d’années mais quelconque dans son costume trois-pièces.


• Bonjours monsieur ainsi qu’à vous madame, voulez-vous votre table habituelle près de la fenêtre ?
• Oui, apportez-nous le repas du jour, nous sommes pressés.
• Pour une fois que votre femme vous accompagne monsieur Édouard, prenez votre temps, les clients vous attendront pour l’ouverture, d’ailleurs tous les jours vous attendez comme une âme en peine 16 heures et la sortie des gens du travail pour avoir vos premiers clients.

Votre femme et le regard au bord des larmes de cette petite serveuse me va droit au cœur, elle est amoureuse du receveur cela se voit et doit le regarder toute la journée de ce restaurant de campagne où en tout et pour tous mange en moyenne six clients qui sont principalement des hommes de chantiers, ils parlent gras et le receveur dénote au milieu d’eux.

• Je vous ai dit vous avoir vues venir à pied avant d’entrer dans la pharmacie, veniez-vous de l’autoroute ?
• Oui ma voiture est garée sur le parking du restoroute.
• Je peux vous raccompagner, je dois me rattr de la bourde qu’à faîte Jocelyne en vous prenant pour mon épouse.
• Cela a été un plaisir alors j’accepte que vous me raccompagniez.

Il récupère sa voiture aussi pourrie que la mienne et nous faisons le chemin inverse que ce que j'ai fait à pied à l'aller.
Arrivé près du chemin où j’ai eu mon premier amant que j’ai dépucelé je lui pose la main sur la cuisse.

• Édouard j’ai une envie pressante, voulez-vous prendre ce chemin que je m’isole, j’aurais dû prévoir et aller aux toilettes au restaurant.

La voiture tourne sur deux roues quand il comprend mon invitation, il a tort car ma seule intention est vraiment d’uriner.
Quand je reviens m’étant soulagé en profitant pour passer de la pommade car cela me brûle toujours, au moment où je passe le tournant qui montre la voiture, Édouard est sortie, a descendu son pantalon et tient sa queue en main.

• Duchesse vient me sucer, j’ai compris qui tu étais quand tu m’as dit de te reconduire à l’autoroute.

• Comment sais-tu ?
• Je suis seule dans ma chambre dans mon logement au-dessus de la banque et le soir je fais du radioamateur, je capte les gens qui parlent sur l’autoroute et depuis quelque temps la Duchesse cette pute avec ses bas et son porte-jarretelle accapare toutes les conversations.
Chaque fois que je me suis masturbée en pensant à toi dois te faire comprendre que j’ai envie de te baiser gratuitement bien sûr.
• Et que vais-je y gagner ?

Je suis pragmatique, un de plus un de moins, j’ai accepté de me coucher pour du fric, celui que j’ai apporté à Édouard aussi je veux être gagnante là encore en le suçant.

• Ton argent versé en liquide va attirer l’attention des services financiers de l’état à moins que quelqu’un ait la possibilité de blanchir cet argent dans sa banque.
Il pourrait sur un appel passer là ou cette Duchesse se trouve à B.P. ou à B.V.L. voir le péage de Beaune récupérer ses liquidités et moyennant quelques moments d’intimité, j’arrangerais ses affaires au meilleur de ses intérêts.

Je m’agenouille sur le chemin et sa bite entre dans ma bouche, encore une que je vais satisfaire…

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